La patience, ou la science du pas? Ou comment apprendre à marcher. Quand j’ai appris le thème de l’article de ce trimestre du magazine, ma première réaction fût de penser: « Oula le sujet est vaste! » Pourtant un mot m’esr venu à l’esprit en mode « Warning! »: LA PATIENCE ! Pourquoi cette notion? La patience est la capacité d’un individu à se maîtriser face à une attente, à rester calme dans une situation de tension ou face à des difficultés, ou encore la quité de persévérance. Etrange me direz-vous pour un thème qui en soi est plutôt académique, sans jeux de mots bien-sur. Mais quand j’entends patience, j’entends la science ou pas, celui qui nous fait marcher. Or que veut-on apprendre à une enfant que se soit dans la sphère privée ou scolaire ? On veut lui apprendre à marcher tout seul « comme un grand » en toute autonomie. L’autonomie s’apprend mais avec…Continue Reading
Ce sont les rois du marketing. Le produit est pourri ? Pas de problème, l’emballage saura lui donner une certaine dignité. L’Angleterre, c’est le pays de l’illusion, tout dans l’image, le tape à l’œil : Un pays de magiciens…
Un pays d’assureurs aussi. En ce moment il y a des réclames pour assurer votre chat, votre chien et même votre lapin. Il y a des gamins qui crèvent la dalle et qui ne savent même pas ce que signifie le mot assurance et nous assurons des chiens...
A l’occasion de la sortie du recueil de Stéphane Berger, ''Dans le noir de la chance'', Laurence Cernon propose une enquête textuelle à la recherche de la poésie. « Si idéalement le travail du poète, de la poète (c'est mon postulat) est d’œuvrer contre tout appauvrissement, tout règne fonctionnaliste de la langue, de se déchaîner face à des prérogatives de communication, enfin d'aller vers la subversion, pour le dire autrement de troubler l'ordre qui se croit fondé en lui-même (et ainsi qui n'aurait pas à se justifier), c'est pas gagné d'avance. »
María de Buenos Aires n'est pas tant un opéra qu'une expérience, celle des petits matins fantomatiques achevant une nuit de rencontres hasardeuses, d’enlacements tangueros, de libations mélancoliques et de regrets diffus. Sublimée par la poésie ironique d'Horacio Ferrer, la musique d'Astor Piazzolla déploie sa force sensible à l'Opéra de Lyon.
À travers une cartographie précise et référencée des débats idéologiques actuels, Philippe Corcuff montre dans son livre La Grande confusion comment l’extrême droite parvient à imposer ses haines et ses obsessions au cœur du débat public. L’ultraconservatisme progresse, au nom d’un peuple-nation supposé homogène, tandis que la frontière entre gauche et droite est remise en question. Dans cette époque traversée par des vents violents, c’est avant tout une boussole que nous tend Philippe Corcuff : comment y voir plus clair dans le brouillard confusionniste ?
Septembre 2021 «Alancolia belgica»
Texte gwénaël David ↔ Images Joop de Gret
Grand-Ours est une ville-monde où s'entrecroisent auteurs, photographes, plasticiens et musiciens. Dans ses maisons, ses entrepôts, ses chambres d'hôtel, sur ses toits, ses ponts, ses quais qui mènent à l'arsenal, ils fabriquent des objets ensemble, vibrants arcs électriques de leur rencontre.