L’édito du zèbre

Bonjour et Bienvenue dans un monde meilleur.

Un monde certes virtuellement médiatique mais totalement Zébré, dans lequel les points de vue sont légion, parce que se multipliant allègrement au contact de cultures tous terrains.

Bienvenue en ligne dans cet Hebdo non domesticable à la subjectivité revendiquée, où rédactrices et rédacteurs copulent indélicatement avec des Zanimaux sauvages. Une ménagerie effervescente et a priori « open mind » mais certainement pas dans l’air du temps. Un journal un tantinet Autrement, où souffle parfois un vent libertaire mais sûrement pas que. Sachant d’emblée qu’il s’interdit de publier des opinions nauséabondes, liberticides et putassières.

Ainsi le Zèbre parle-t-il aux Zèbres. Sur une fréquence volontairement aléatoire, parfois brouillée et surtout non figée. Immergé dans la jungle urbaine, le Zèbre s’adresse autant aux Zazous qu’aux Zéros, aux Zorros et aux Zinzins, aux Zonards des étoiles, aux Zouaves, aux Zygomatiques, aux Zoulous et aux Zingueurs, aux Zoologistes et autres Zébronautes, bien évidemment aux Z’empêcheurs de tourner en rond et à tous les Z’autres.

Parce que le Zèbre s’intéresse à tout, la Musique à fond dans le poste de la carlingue, avec une prédilection pour les questions sociétales, géopolitiques et culturelles. Avec un grand S. Le Zèbre se nourrit ainsi goulûment de cultures hors normes et hors circuits, de cultures d’ici et d’ailleurs, de cultures underground et de cultures alternatives, de cultures urbaines et suburbaines, de cultures avant-gardistes et parfois dérangeantes, de la culture des autres et de la culture pour tous, de cultures subversives et de cultures universelles… ad lib.

Parce que le Zèbre entend également donner le ton, ou plutôt les tons, quant aux modes de gouvernance « de la Cité » (du grec Politikos) ; et des tons qui espérons-le, détonneront ! Avec un soupçon d’ambition – et donc de dissonance chérie – mais sans prétentions, sans paravents, sans frontières et bientôt sans fautes d’orthographe…

On me dit dans l’oreillette que « l’ombre du Zèbre n’a pas de rayures« , ainsi que « le métier de suiveur ne sera jamais le notre ». Louable comme déclaration d’intention, n’est-il pas ? Encore nous faudra-t-il être à la hauteur. Et demain sera. Ce que nous en ferons et ce que nous en dirons. Acteurs dans l’ombre. Mais jamais spectateurs, au grand désespoir du virtuellement votre.

« Le monde de demain, quoi qu’il arrive, nous appartient ! « . Ainsi parlait le Suprême NTM en son temps ; une missive désormais inscrite au fronton de notre univers Zébré.

 

Laurent Z