Alors oui il est là ce nouveau site. Avec toute la magie, les promesses du nouveau.

Souvent au détour d’une conversation on me demande « Mais vous êtes combien ? qui écrit ? qui utilise tel pseudo ? patati … patata… » Avec ce nouveau site comme l’annonce le rédac’ chef, j’avais envie d’ouvrir une lucarne sur la rédaction à l’œuvre. Une rédaction de repris de justesse comme disait je ne sais plus qui ni quand. Derrière cet austère design web se cachent de vraies bonnes personnes.

Je ne risque pas de dévoiler quelque secret ici, simplement livrer un mot personnel et subjectif. Puisque j’ai la joie de participer un peu à la vie de cette aventure je croise régulièrement nombre de membres de l’équipe. Et comme « on » m’a dit que  je pouvais faire des trucs Funky allons-y. Comprends ici ami lecteur que 1/ je suis incapable d’écrire des trucs sérieux, ici y’a de vrais boss ; 2/ quand au qualificatif « Funky » il est par simple souci de t’avertir que t’apprendras pas quelque chose de sérieux, justement.

Revenons à nos zébrés rédacteurs et rédactrices. Ladies first.
Oui il y a des filles, des femmes, des dames avec des cerveaux à côté desquels les circuits électroniques de la NSA sont minables. Elles sont jolies ; on se marre… De ce côté du genre, la rédaction est aiguisée comme une lame, puissante comme un fusil d’assaut. T’as compris. On se tient a carreaux de l’autre côté.

Les Lascars de l’autre côté
De ce côté-là peut-être pourrais-je m’arrêter immédiatement sur ce mot : Lascars. J’adore ce mot qui claque en bouche, affûté, vif, souple et anguleux. Chez ces gars on trouve du pointu, du farfelu et souvent un robuste alliage des deux. Pour ne pas se tenir à carreaux cet alliage est parfait, vous en conviendrez.

Une rédaction à rayures
A observer tout ce joli monde je ne saurais dire qui est plutôt Blanc, qui est plutôt Noir. Cela revêt peu d’importance. Ce qui est important ce sont les rayures. Ce qui est frappant c’est avant tout la diversité, la variété des angles de vues, les croisements possibles, les chocs certains. Forcément.
Assister à une réunion de rédaction vous convaincrait en un instant.
Je me suis souvent interrogé : quelles choses avons-nous en commun ?  Je n’en sais toujours foutrement rien si ce n’est que j’ai le sentiment que nous sommes tous un peu émigrés, immigrés ici au Zèbre. Certainement pas échoués.
Cela donne une belle musicalité à ce qui s’y écrit. Que l’on espère que vous lirez.

Ce qui m’amène à ce track qui inspire en partie ce billet : « Basta Ya todos Somos Imigrantes ».
Une bonne, solide basse, une mélodie enfantine et une voix suave qui balance l’air de rien des lyrics qui fracassent. Ce morceau qui vient d’Amérique Latine, fruit de la collaboration entre l’argentin El Remolon et la colombienne Lido Pimienta colle subjectivement parfaitement à ce qu’est la rédaction du Zèbre.

Selector Del Camping