Suspendues à un fil, bougeant au grès du vent ; dix photographies de différents élèves, de plein pied ou en plan américain, reçoivent les aléas des intempéries et de l’invisible pollution...
Lieux transitoires, indéterminés. Difficile d’identifier Lyon dans les clichés argentiques tant l’anonymat architectural est criant. Utopie de constructions entre l’habitation, le travail, le déplacement humain de ces années là...